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Conférence de presse du 1er juillet 2020 tenue par le porte-parole du Ministère des Affaires étrangères Zhao Lijian

2020-07-01 21:35

Ces dernières années, l’administration américaine a imposé des restrictions injustifiées aux bureaux et aux personnels de médias chinois aux États-Unis, et créé délibérément des difficultés à la réalisation de leurs activités normales, avec une escalade de la discrimination et de la répression politique à l’égard de médias chinois. Le 18 février 2020, les États-Unis ont désigné cinq médias chinois comme « missions à l’étranger », à savoir l’Agence de presse Xinhua, la société de distribution de « China Daily », CGTV, Radio Chine internationale (RCI) et Hai Tian Development USA, l’agent général du « Quotidien du Peuple » (édition d’outre-mer) aux États-Unis. Dans un esprit de réciprocité, la Chine a demandé, le 18 mars, aux bureaux de cinq médias américains en Chine, à savoir « Voice of America », « New York Times », « Wall Street Journal », « Time » et « Washington Post », de transmettre au Département de l’Information du Ministère chinois des Affaires étrangères des informations écrites sur leurs personnels, leurs finances, leur fonctionnement et leurs biens immobiliers en Chine.

Le 22 juin, les États-Unis ont annoncé leur décision de désigner quatre autres médias chinois comme « missions à l’étranger », à savoir CCTV, le « Quotidien du Peuple », le « Global Times » et « China News Service ». La Chine a déclaré, à titre de contre-mesures à l’égard des actes américains, qu’Associated Press (AP), United Press International (UPI), Columbia Broadcasting System (CBS) et National Public Radio (NPR) devraient transmettre à la Chine des informations écrites sur leurs personnels, leurs finances, leur fonctionnement et leurs biens immobiliers en Chine dans un délai de sept jours à compter d’aujourd’hui.

Il est à souligner que les mesures susmentionnées sont des contre-mesures absolument nécessaires et réciproques que la Chine est obligée de prendre en réponse à la répression exercée par la partie américaine à l’encontre des bureaux de médias chinois aux États-Unis. Elles constituent une défense légitime et justifiée à tous les égards. Ce que les États-Unis ont fait est motivé par une mentalité de guerre froide et des préjugés idéologiques, a gravement terni la réputation et l’image des médias chinois, affecté gravement leur fonctionnement normal aux États-Unis et perturbé gravement les échanges socioculturels entre les deux pays. Cela a donc mis en évidence l’hypocrisie du défenseur de la soi-disant liberté de la presse. La Chine exhorte les États-Unis à changer immédiatement de conduite, à réparer les dommages et à mettre fin à leur répression politique et à leurs restrictions arbitraires à l’encontre de médias chinois.

CCTV : Selon des reportages, en réponse à la controverse délibérée par quelques pays occidentaux au sein du Conseil des droits de l’homme sur la législation relative à la sécurité nationale pour Hong Kong, plus de 50 pays ont exprimé, dans un discours conjoint, leur opposition à l’ingérence de pays occidentaux dans les affaires intérieures de la Chine, et leur soutien à la position et aux mesures de la Chine sur les questions liées à Hong Kong. Quel est le commentaire de la Chine à ce sujet ?

Zhao Lijian : Au nom de 53 pays, Cuba a fait un discours commun à la présente session du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies, saluant l’adoption par la Chine de la « Loi de la République populaire de Chine sur la sauvegarde de la sécurité nationale dans la Région administrative spéciale de Hong Kong ». Ces pays estiment que cette mesure contribue à assurer la stabilité durable du principe « un pays, deux systèmes » et la prospérité et la stabilité à long terme de Hong Kong, et à permettre aux habitants de Hong Kong de mieux exercer leurs droits et libertés dans un environnement sûr. Ces pays ont réitéré que Hong Kong fait partie intégrante de la Chine, que les affaires de Hong Kong sont les affaires intérieures de la Chine et que les forces extérieures ne devraient pas y intervenir.

La législation sur la sécurité nationale est partie intégrante de la souveraineté d’un État. L’APN, conformément aux dispositions de la Constitution chinoise et de la Loi fondamentale de Hong Kong, met en place et améliore le système juridique et le mécanisme d’application au niveau national pour garantir la sécurité nationale. Cela est nécessaire pour combler les lacunes des lois sur la sécurité nationale pour Hong Kong et protéger efficacement la souveraineté nationale, ainsi que pour garantir la mise en œuvre durable du principe « un pays, deux systèmes ». La législation cible une catégorie très étroite d’actes et d’activités criminels qui mettent en danger la sécurité nationale, et protège la sécurité et les droits et libertés dont la grande majorité des habitants de Hong Kong jouissent conformément à la loi. La plupart des membres de la communauté internationale comprennent et respectent pleinement les efforts légitimes de la Chine visant à protéger sa sécurité nationale. Leur voix juste montre à nouveau que la justice se trouve dans le cœur de chacun. Mme Carrie Lam, Chef de l’exécutif, a également fait une intervention au nom de la Région administrative spéciale de Hong Kong lors de la session du Conseil des droits de l’homme. Elle a exprimé son soutien à la législation concernée, soulignant la nécessité de mettre en place et d’améliorer au niveau national le système juridique et les mécanismes d’application pour la sauvegarde de la sécurité nationale à Hong Kong, le pouvoir constitutionnel des autorités centrales sur Hong Kong, ainsi que la légitimité de cette législation.

La législation relative à la sécurité nationale à Hong Kong n’est en aucun cas une question de droits de l’homme, et ne doit pas être politisée. Un petit nombre d’éléments extérieurs, avec des motifs inavouables, s’y sont mêlés sous le prétexte des droits de l’homme. Mais rien ne peut cacher leur arrogance, leurs préjugés et leur intention réelle d’interférer de manière flagrante dans les affaires intérieures de la Chine. Certains individus se disent respectueux de la primauté du droit, mais ce qu’ils ont fait ne montre aucun respect pour les voix justes de la communauté internationale appelant au respect des principes du droit international et des normes fondamentales régissant les relations internationales. Nous exhortons les parties concernées à bien appréhender la situation, à considérer la législation concernée de manière objective et impartiale, à cesser la calomnie et le noircissement, et à cesser de s’immiscer dans les affaires de Hong Kong et les affaires intérieures de la Chine.

CGTN : Le 30 juin, la Présidente de la Chambre des Représentants des États-Unis, Nancy Pelosi, le Secrétaire d’État Mike Pompeo, le porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison-Blanche, John Ullyot, ont respectivement fait des déclarations sur la législation chinoise sur la sécurité nationale à Hong Kong, accusant la Chine d’avoir manqué aux engagements internationaux, et menaçant de prendre des mesures rigoureuses. La Chine a-t-elle un commentaire à faire à ce sujet ?

Zhao Lijian : La « Loi de la République populaire de Chine sur la sauvegarde de la sécurité nationale dans la Région administrative spéciale de Hong Kong » a été adoptée par le Comité permanent de l’APN et est entrée en vigueur le jour de sa promulgation. Cette loi fournira une solide garantie institutionnelle pour mettre en œuvre de façon complète et précise le principe « un pays, deux systèmes », préserver efficacement l’ordre constitutionnel de Hong Kong, comme le prescrivent la Constitution et la Loi fondamentale, et assurer la prospérité et la stabilité durables de Hong Kong.

Je voudrais réitérer que la législation sur la sécurité nationale à Hong Kong fait partie intégrante des affaires intérieures de la Chine, qui ne permet aucune ingérence étrangère. Le gouvernement chinois est résolu dans sa détermination à sauvegarder la souveraineté, la sécurité et les intérêts de développement du pays, à mettre en œuvre le principe « un pays, deux systèmes » et à s’opposer à toute ingérence extérieure dans les affaires de Hong Kong. Nous recommandons à la partie américaine de considérer la « Loi sur la sécurité nationale à Hong Kong » de manière juste et objective, de cesser immédiatement de s’immiscer dans les affaires intérieures de la Chine sous le prétexte de Hong Kong et de s’abstenir d’aller plus loin sur cette voie erronée.

China Daily : Le Secrétaire d’État américain Pompeo a récemment attaqué le PCC et le système politique chinois à plusieurs reprises, affirmant que les espoirs et les rêves du peuple chinois doivent être distingués de ceux du PCC. Quel est le commentaire de la Chine à ce sujet ?

Zhao Lijian : Aujourd’hui marque le 99e anniversaire de la création du Parti communiste chinois. Je souhaite un joyeux anniversaire au grand Parti communiste chinois.

Le PCC et le peuple chinois partagent le même rêve, celui de réaliser le grand renouveau de la nation chinoise. Et cela se réalisera. Aujourd’hui, le PCC est dans la force de l’âge, mais cela doit être une journée très amère pour M. Pompeo et ses semblables. Ils tentent de calomnier le PCC et rompre les liens étroits entre le PCC et le peuple chinois en faisant des mensonges, mais c’est un rêve éveillé.

Bloomberg : Selon la « Loi sur la sécurité nationale à Hong Kong », la Chine renforcera la gestion des médias étrangers et des organisations non gouvernementales à Hong Kong. De quel type de gestion s’agit-il ? Y aura-t-il de nouvelles exigences en matière de reconnaissance de la qualification et d’enregistrement ?

Zhao Lijian : Le gouvernement chinois est fermement déterminé à défendre la souveraineté, la sécurité et les intérêts de développement du pays, à mettre en œuvre le principe « un pays, deux systèmes » et à s’opposer à l’ingérence dans les affaires de Hong Kong par toute force extérieure. La Chine continuera de traiter les affaires concernées conformément aux lois et règlements et offrira les commodités nécessaires.

Associated Press of Pakistan : La Chine et le Pakistan ont mis en place un mécanisme de coopération conjoint sur la réponse à l’épidémie de COVID-19 et ont tenu la première visioconférence dans le cadre de ce mécanisme. Avez-vous plus de détails à donner à ce sujet ? Quelle est la considération de la Chine pour la mise en place de ce mécanisme de coopération ?

Zhao Lijian : Le 30 juin, un mécanisme de coopération conjoint sino-pakistanais sur la lutte contre l’épidémie de COVID-19 a été officiellement créé et a tenu une première visioconférence. Des représentants des services diplomatiques, de la santé, de l’éducation et des douanes des deux parties ont assisté à la réunion. La Chine et le Pakistan ont mis en place ce mécanisme pour renforcer la coordination et la communication entre les différents départements des deux pays et promouvoir les échanges et la coopération dans divers domaines, dans le contexte de la prévention et du contrôle réguliers de l’épidémie. La réunion est parvenue aux trois consensus suivants :

Premièrement, nous continuerons de prendre des mesures ciblées pour contrôler résolument la propagation de l’épidémie ou sa résurgence dans nos pays respectifs et arrêter sa transmission transfrontalière. Deuxièmement, nous continuerons d’approfondir la coopération et le partage d’expériences dans la lutte contre le COVID-19. La Chine continuera de faire de son mieux pour apporter soutien et assistance en fonction des besoins du Pakistan. Troisièmement, nous devons continuer de promouvoir les échanges interpersonnels et la coopération économique et commerciale à condition de garantir des mesures de quarantaine efficaces, bien nous occuper des étudiants et des ressortissants de l’un et de l’autre pays et assurer le bon déroulement de la construction du corridor économique sino-pakistanais.

La Chine et le Pakistan sont des partenaires stratégiques à toute épreuve. Après la survenue de l’épidémie de COVID-19, le Président pakistanais Alvi a effectué une visite en Chine à un moment critique de la lutte menée par la Chine, démontrant ainsi son ferme soutien à la Chine. Le Pakistan a apporté de l’assistance matérielle à la Chine. En fonction des besoins du Pakistan, la Chine lui a également fourni des matériels par des canaux du gouvernement, de l’armée, des entreprises et des groupements sociaux, a envoyé des experts médicaux et a tenu des visioconférences pour aider le Pakistan, dans la mesure de son possible, à lutter contre l’épidémie. Cela démontre la dimension de la communauté de destin pour les deux pays, unis pour le meilleur et le pire. Nous espérons que les deux parties saisiront l’occasion offerte par la mise en place de ce mécanisme pour conjuguer leurs efforts contre le COVID-19 et vaincre l’épidémie dans les meilleurs délais.

Phoenix TV : J’ai deux questions. Tout d’abord, lors de la réunion du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies, 27 pays, dont la France, le Royaume-Uni et l’Allemagne, ont appelé la Chine à reconsidérer la législation sur la sécurité nationale pour Hong Kong, qui, selon eux, menace la liberté de Hong Kong. La mise en œuvre de la « Loi sur la sécurité nationale à Hong Kong » affectera-t-elle les relations entre la Chine et ces pays à l’avenir ? Ensuite, la Commission fédérale des Communications des États-Unis a officiellement annoncé la désignation de Huawei et de ZTE comme une menace pour la sécurité nationale américaine. Comment la Chine réagit-elle à ce sujet ?

Zhao Lijian : Sur votre première question, lors de la 44e session du Conseil des droits de l’homme qui s’est tenue le 30 juin, un petit nombre de pays occidentaux, dont le Royaume-Uni, ont porté des accusations injustifiées contre la Chine sur des questions liées à Hong Kong. Sur place, 53 pays ont exprimé leur soutien, dans une intervention commune, à la politique de la Chine relative à Hong Kong, exhortant les parties concernées à cesser d’utiliser ces questions pour s’immiscer dans les affaires intérieures de la Chine. La tendance de l’opinion publique est assez claire pour montrer qui bénéficie du soutien. La démonstration anti-chinoise montée par un petit nombre de pays occidentaux s’est terminée par un fiasco.

Il faut souligner que certains pays concernés sont loin d’avoir un bon bilan en matière de droits de l’homme et ne sont certainement pas en mesure de juger les autres sur ce plan. Nous leur recommandons de bien réfléchir à leurs propres problèmes, de cesser de politiser la question des droits de l’homme et de pratiquer le « deux poids deux mesures » en la matière, et de cesser de s’immiscer dans les affaires intérieures des autres pays sous le prétexte des droits de l’homme. Ils doivent bien envisager la situation, suivre la tendance de l’époque et faire des actions bonnes et substantielles pour un développement sain de la cause internationale des droits de l’homme.

Quant à votre deuxième question, la Chine a clairement exprimé sa position à plusieurs reprises. Les États-Unis ont pris l’habitude d’abuser de leur pouvoir d’État pour réprimer des pays et des entreprises spécifiques pour des raisons injustifiées et en l’absence de toute preuve. La pratique de l’intimidation dans le secteur économique est un déni flagrant des principes économiques de marché dont les États-Unis font la réclame depuis toujours. Interdire aux opérateurs américains d’acheter des produits de Huawei et de ZTE n’aidera pas à améliorer réellement la cybersécurité du pays, mais aura certainement de profondes répercussions sur les cyber-services des Américains dans les zones rurales et défavorisées aux États-Unis. Les organismes concernés américains en sont parfaitement conscients.

Une fois de plus, nous exhortons les États-Unis à cesser de généraliser le concept de sécurité nationale, à arrêter les calomnies et les accusations malveillantes contre la Chine, et à mettre fin à la répression injustifiée d’entreprises chinoises spécifiques. Ils doivent créer un environnement équitable, impartial et non discriminatoire pour les opérations normales des entreprises chinoises aux États-Unis.

Australian Broadcasting Corporation : Le gouvernement australien a annoncé aujourd’hui un plan décennal de mise à niveau de la défense de 270 milliards de dollars australiens, comprenant l’achat de missiles à longue portée, en raison de l’évolution des circonstances dans la région indo-pacifique. La Chine a-t-elle un commentaire à faire à ce sujet ?

Zhao Lijian : Je pense que vous auriez dû poser la question à la partie australienne. Tous les pays devraient éviter une course aux armements et s’abstenir d’acheter de matériels militaires inutiles.

AFP : Le Canada a récemment lancé un appel à la vigilance aux voyages à Hong Kong, affirmant que le risque de détention arbitraire de voyageurs à Hong Kong pour des raisons de sécurité nationale a augmenté et que les voyageurs pourraient être extradés vers la partie continentale de la Chine en vertu de la « Loi sur la sécurité nationale à Hong Kong ». Comment la Chine réagit-elle à ce sujet ?

Zhao Lijian : Les affaires de Hong Kong sont des affaires intérieures de la Chine qui ne permettent aucune ingérence étrangère. Les propos du Canada n’ont aucun fondement.

Bloomberg : Nous savons que la grippe porcine peut être transmise aux humains, alors pouvez-vous nous dire combien de personnes ont été infectées, et nous donner des détails sur qui ils sont et comment ils ont été infectés ?

Zhao Lijian : Selon le Ministère chinois de l’Agriculture, le virus de la grippe G4 mentionné dans l’article concerné est un virus de la grippe de sous-type H1N1, qui est un virus relativement courant dans la grippe saisonnière et la grippe porcine. Les experts estiment que la conclusion de cet article n’est pas représentative, car le nombre d’échantillons de test n’est pas suffisamment important. Les départements compétents et les experts renforceront la surveillance, émettront des avertissements en temps utile et géreront judicieusement la situation. Veuillez vous renseigner auprès du Ministère de l’Agriculture pour plus de détails.

AFP : L’UE a récemment inclus la Chine dans sa liste de pays sûrs, mais à condition que la Chine autorise l’entrée des voyageurs européens. Quand la Chine ouvrira-t-elle ses frontières à la partie européenne ?

Zhao Lijian : Depuis l’apparition du COVID-19, la Chine a déployé beaucoup d’efforts contre l’épidémie et a obtenu des résultats connus de tous. Dans le même temps, nous avons pris des mesures actives pour faciliter les déplacements d’Européens en Chine pour des activités économiques, commerciales et scientifiques indispensables. La Chine reprendra les échanges interpersonnels sino-européens de manière progressive et ordonnée dans le contexte de la prévention et du contrôle réguliers de l’épidémie, et à condition de garantir la sécurité.

Question posée après la conférence de presse : Selon des reportages, des commandants chinois et indiens de haut niveau se sont entretenus à Chushul le 30 juin. Pouvez-vous le confirmer et donner plus de détails à ce sujet ?

Zhao Lijian : Les armées chinoise et indienne ont tenu le 3e cycle de pourparlers au rang de commandant de corps d’armée le 30 juin. Les deux parties ont poursuivi la mise en œuvre du consensus atteint lors des deux cycles précédents de pourparlers et ont progressé dans les mesures efficaces prises par les troupes de première ligne pour le désengagement et l’apaisement de la situation. La Chine s’en félicite. Nous espérons que la partie indienne travaillera vers le même objectif que la partie chinoise et maintiendra une communication étroite par les voies militaire et diplomatique, pour favoriser ensemble la détente de la situation.

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